PROJETS À L'ÉTUDE

DÉNEIGEMENT

Chaque hiver, la neige étale en plus de son blanc manteau, une multitude de problèmes aux services industriels chargés de l’entretien des routes et du domaine public. Chasses-neige, fraises et autres engins de déneigement, ne viennent pas toujours à bout des épaisseurs souvent importantes de neige.

Si les autoroutes et routes principales sont relativement bien entretenues, sur les réseaux secondaires et en ville, c’est la galère. Des monticules de neige s’accumulent sur les bas-côtés et les trottoirs, mettant en péril la vie des citoyens. Aux intersections, à cause des tas de neige ainsi formés, les risques d’accidents sont accrus.

D’où mon idée de faire d’une pierre deux coups. Non seulement les problèmes liés aux amas de neige seraient totalement résolus, mais en plus, il serait possible de constituer des réserves d’eau colossales et les stocker dans des bassins, en prévisions des pénuries dues aux périodes de sécheresse.

Comment ? Prenons une « fraise » qui rejette la neige sur le bas-côté, par un manchon. En gardant à l’esprit l’image d’une moissonneuse, qui une fois la céréale coupée, déverse les grains dans sa remorque, j’ai pensé à l’adapter aux matériels de déneigement.

Remplaçons les céréales par la neige. La fraise la broie comme c’est sa mission. Mais au lieu de l’expédier sur le côté de la chaussée, la neige serait envoyée dans un cylindre, qui serait surchauffé par des brûleurs ; un peu comme les brûleurs sur une goudronneuse, qui chauffe le goudron pour le liquéfier.

Une température constante de deux à trois cents degrés serait maintenue à l’intérieur du réservoir. La neige, au contact de cette atmosphère brûlante, fondrait naturellement. L’eau obtenue, serait stockée dans une citerne roulante (remorque, camion etc.), et serait déversée dans les bassins de rétentions construits à cet effet, dans les campagnes pour les agriculteurs et éleveurs en prévision d’une sécheresse ; autant que dans les endroits propices aux incendies de forêts ! Une immense citerne enterrée, d’une capacité de 2 ou 300 m3, serait placée aux sommets des montagnes les plus vulnérables, difficiles d’accès aux engins d’incendie.

Tout comme cela se fait d’une manière embryonnaire en ce moment, dans le sud de la France avec des moyens héliportés imposants. Des canalisations enfouies dans le sol, apporteraient l’eau au bas des montagnes, pour permettre aux soldats du feu d’attaquer l’incendie en toute sécurité.

SWISS-HOME-DÉMÉNAGEMENTS

En cette période de récession et de problèmes économiques, les déménagements sont les premiers foyers touchés. Par suite de délocalisation, de changement personnel de ville, de Canton ou de pays, les candidats aux déménagements étudient de très près les différentes offres émanant de sociétés spécialisées.

Ces mêmes sociétés, à cause des prix fluctuants des carburants, subissent de plein fouet le marasme. Mon idée est simple. En regroupant sur le site « Swiss-Home-Déménagements » tous les déménageurs Suisses, le candidat au changement de Canton aurait à sa disposition tous les éléments d’appréciation et de comparaison.

Mais le but premier, est de faire des économies, tant pour la société que pour le client. En effet, si un client habitant Zurich déménage pour La Chaux-de-Fonds, une fois terminé son transport, le camion repart à vide pour Zurich. Ou inversement, si le futur habitant de La Chaux-de-Fonds fait venir une entreprise locale à Zurich, le résultat est le même. Dans les deux cas de figure, il y aura un transport à vide.

Le principe est donc d’utiliser ces transports à vide. Après le déménagement, grâce au planning tenu à jour, le camion qui doit revenir sur Zurich, pourra s’arrêter à Berne par exemple, pour prendre en charge un nouveau client qui doit s’installer à Bâle ; ou ailleurs dans le nord de la Suisse.

Ainsi, la société de transport ne supportera plus lesdits frais pour un retour à vide, et le client, verra les mêmes frais considérablement diminués. En limitant au maximum ces déplacements disponibles, non seulement il y aura des économies substantielles, mais de plus, la Nature sera préservée d’autant. La pollution en effet, émanant des camions, sera réduite grâce à la diminution des retours à vide et tout le monde y gagnerait !

Le principe pourrait être étendu à tous les pays dans le monde, c’est un autre objectif que je me suis fixé.

VITESSE & DISTANCES DE SÉCURITÉ

Il est très difficile, voire impossible, de garantir à cent pour cent une méthode pour diminuer le nombre d’accidents sur les routes. Chaque année, depuis des décennies, des milliers de morts et de blessés sont à déplorer. Manque de volonté des dirigeants ? Manque de moyens de dissuasion ? Égoïsme des conducteurs récalcitrants ?

La présence des policiers et des radars certes, permet une régression des accidents graves. Hélas, la contestation inhérente aux aléas des radars, risque de tout remettre en cause. À mon avis, il existerait des solutions radicales que même les automobilistes les plus contestataires ne pourraient pas discuter.

La vitesse tout d’abord. À l’entrée d’une autoroute, au poste de péage, un rayon laser programmerait le récepteur installé sur chaque véhicule, à la vitesse maximale autorisée sur l’autoroute par le biais d’un régulateur de vitesse, piloté par l’ordinateur. En cas de ralentissement pour travaux, le même radar imposerait une vitesse adaptée. Sitôt que la limitation prendrait fin, le radar ordonnerait de nouveau la vitesse maximale autorisée.

Les mêmes dispositifs serviraient à l’entrée et à la sortie d’une agglomération, autant que sur toutes les routes secondaires, dès l’instant où un panneau impose le respect d’une limitation de vitesse. Dans tous les cas, l’automobiliste ne pourrait pas faire autrement que se soumettre aux règles.

Les distances de sécurité ensuite. Fixé à l’intérieur de l’habitacle du véhicule, sous le rétroviseur par exemple, un rayon laser déterminerait la distance à respecter. À l’instar des géomètres ou ingénieurs des travaux publics utilisant les mesures optiques, ces radars seraient orientés en oblique et réglés jusqu’au point zéro (ras du sol), à cent cinquante mètres.

Si l’automobiliste ne respecte pas les distances, le rayon produirait dans un premier temps, un son strident dans la voiture. Au bout de deux secondes, si la distance n’est toujours pas respectée, l’ordinateur stopperait le moteur pour une durée minimale de quinze minutes ; au prorata de la vitesse. En levant simplement le pied, même à cent trente kilomètres heure, en deux secondes, les distances s’allongent ostensiblement ; un petit coup de frein suffirait à les augmenter si besoin !

Ce dispositif serait assujetti au préalable, à un étalonnage par rapport à la vitesse du véhicule. Moins de trente à l’heure : point zéro à cinq mètres (idéal pour la circulation urbaine) ; à cinquante kilomètres heures : point zéro à trente mètres ; à soixante à l’heure : point zéro à quarante mètres ; à quatre-vingt-dix à l’heure : point zéro à cent mètres ; au-delà de cent kilomètres heures, point zéro à cent cinquante mètres.

Ça coûte cher !!! Ah bon… Et les morts et blessés, combien coûtent-ils ? Mais l’État prendrait 50% à sa charge (plus besoin de colonies de radars ou de pelotons de gendarmerie), les assureurs 40% (moins d’accidents = moins de coûts) et l’utilisateur les 10% restants ! 

Places de stationnement. Qui n’a jamais maugréé, surtout par temps froid, en ne pouvant pas passer entre deux voitures, qui sont collées pare-choc contre pare-choc ? Quand on est valide, c’est encore un moindre mal. Mais ce qui m’a fait penser à cette idée, c’est en voyant le même jour, sous une pluie torrentielle, une brave Mamie d’un côté et un handicapé dans son fauteuil de l’autre.

À cause de ces automobilistes « ventouses », la Mamie et le handicapé ont été obligés de faire plus de cents mètres sur la chaussée, pour pouvoir enfin être sur le trottoir. En gardant le principe du radar pour les distances, il suffirait de programmer l’arrêt de la voiture pour au moins une demi-heure, dès l’instant où celle-ci se trouverait à moins d’un mètre de celle qui la précède ; avec une temporisation bien entendu, le temps nécessaire à la manœuvre. Avec un espace d’un mètre entre deux voitures en stationnement, le handicapé n’aurait aucun mal à passer avec son fauteuil ; de même que la personne âgée, qui n’aurait plus à s’exposer aux fous du volant.

Car comble de malchance, toujours le même jour, le pauvre handicapé s’est fait copieusement incendier parce qu’il roulait sur la chaussée ! À défaut de civisme et de respect des autres, sans pour autant sombrer dans la répression abusive, avec quelques mesures bien adaptée, il y aurait moyen de concilier les piétons et les automobilistes irrespectueux.

NATEL AU VOLANT

Qui n’a jamais rouspéter après les conducteurs (de plus en plus nombreux), en train de téléphoner en conduisant ? Des règles les plus élémentaires de sécurité, aux lois visant à en interdire l’usage, les automobilistes les plus récalcitrants s’adonnent à leur sport favori : se faire voir avant tout !

Puisque la loi n’est pas assez dissuasive, il conviendrait de franchir le cap de la tolérance. Comment ? À mon avis ce serait simple. Il suffit de comparer le Natel aux autres formes de délits potentiels, en commençant par l’alcool au volant. De plus en plus, les véhicules sont équipés d’un éthylomètre, qui, en cas de dépassement du taux d’alcoolémie requis, empêche le démarrage du moteur.

Pour interdire l’usage du Natel au volant, j’ai pensé aux brouilleurs d’onde, installés ça-et-là dans certains édifices publics. Ramené à la voiture, ledit brouilleur serait activé dès que le contact serait enclenché. Ainsi, aucune communication ne serait possible en conduisant.

Comment faisait-on il y a une vingtaine d’années ? Ne pas confondre utilité et frime, c’est le plus important. Un coup de fil urgent ? On s’arrête, on coupe le contact, et le Natel peut être utilisé sans souci. Ainsi, plus de danger pour les autres automobilistes ni pour soi-même.

Que l’on soit sur une autoroute ou une route secondaire, il y a toujours une place pour immobiliser son véhicule. Y a-t-il des « urgences » aussi impératives pour mettre en danger la vie d’autrui ? Alors puisque le respect des lois et le manque de savoir vivre prédominent, avec ce procédé au moins, des vies seraient épargnées.


             J'ai encore plein d'autres idées qui pourraient être développées. Seulement pour mener à bien l'opération et concrêtiser mes projets, il serait souhaitable de rencontrer un industriel, en mesure d'en financer l'élaboration, et assumer la ou les conceptions matérielles, concernant essentiellement les engins de déneigement.

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